StarkVital Nr. 32

En tant qu'éditeur du magazine StarkVital, j'ai utilisé ChatGPT pour la première fois le 13 juillet, et j'ai été très surpris.

LA QUESTION posée à ChatGPT était la suivante : Stimulation magnétique fonctionnelle pour l'entraînement du plancher pelvien : à quoi servent les différentes fréquences et quel effet ont-elles sur le plancher pelvien ? En musculation, le stimulus reste pratiquement constant. Pourquoi est-ce diffé rent pour le plancher pelvien ? Réponse de ChatGPT : La stimulation magnétique fonctionnelle (SMF) est une méthode qui utilise des impulsions magnétiques pour stimuler et exercer le plancher pelvien. Différentes fréquences sont utilisées pour obtenir différents effets. Les basses fréquences (par exemple 5-10 Hz) sont utilisées pour activer et contracter les muscles du plancher pelvien. Cela permet de renforcer les muscles et d'améliorer leur fonction. Le plancher pelvien est entraîné et renforcé par la contraction et la relaxation répétées des muscles. Des fréquences plus élevées (par exemple 50-100 Hz) sont utilisées pour améliorer la circulation sanguine dans le plancher pelvien. Cela peut favoriser la régénération des tissus et améliorer la santé des muscles. L'amélioration de la circulation san guine peut également contribuer à réduire la douleur dans la région du plancher pelvien. L'utilisation de différentes fréquences dans l'entraînement du plancher pelvien avec le SFM permet de traiter différents aspects de l'entraînement musculaire. Les basses fréquences ciblent la force et la fonction musculaire, tandis que les fré quences plus élevées favorisent la circulation sanguine et la régénération des tissus. Contrairement à l'entraînement musculaire, qui implique une stimulation constante, il est souvent utile, dans le cadre de l'entraînement du plancher pelvien, d'utiliser différentes fréquences pour atteindre différents objectifs. En effet, le plancher pelvien est constitué de plusieurs muscles ayant des fonctions différentes. L'utilisation de différentes fréquences permet de stimuler et d'entraîner ces muscles de manière ciblée. Il convient de rappeler que l'utilisation du SFM pour l'entraînement du plancher pelvien doit être supervisée par un profession nel, qui veillera à ce que les fréquences et les intensités correctes soient utilisées afin de minimiser les risques éventuels.

L'indice de masse corporelle est obsolète

L'indice de masse corporelle (IMC) exprime le rapport entre le poids et la taille d'un individu et indique sous-poids, poids normal, surpoids ou même obésité. Il se calcule en divisant le poids en kg par la taille en mètres au carré. En général, un IMC haut signifie un pourcentage élevé de graisse corporelle. Un IMC de 30 ou plus indique une obé sité, tandis qu'une valeur entre 25 et 30 indique un surpoids. Toutefois, ce paramètre ne permet pas d'estimer la masse graisseuse ni d'évaluer l'état de santé d'un individu. En effet, l'IMC ne tient pas compte de la composition de la masse corporelle, c'est-à-dire du pourcentage de tissu adi peux, de la masse musculaire ou des importantes accumu lations de liquide dans le corps. En effet, le tissu musculaire est plus lourd que le tissu adipeux. Une masse musculaire bien développée peut indiquer à tort une surcharge pon dérale. Un bodybuilder peut donc avoir le même IMC trop élevé qu'une personne avec une bedaine de bière. Dans ce cas, il est conseillé de mesurer également la circonférence abdominale. Pour déterminer le pourcentage de graisse

corporelle il est également possible d'utiliser une balance pour indentifier la masse grasse et la masse musculaire ou la mesure de l'épaisseur des plis cutanés (plicométrie). L'American Medical Association (AMA) a présenté à Chi cago un nouveau rapport sur l'IMC, qui ne fait pas la dis tinction entre la masse maigre et la masse grasse et ne localise pas non plus les régions spécifiques du corps où se trouve l'excès de graisse. L'IMC devrait être utilisé en tenant compte d'autres valeurs de risque telles que la tension artérielle, la génétique, le cholestérol et d'autres facteurs métaboliques. L' AMA regrette également que l'IMC ne prenne pas en compte les nombreuses différences physiques entre les indi vidus, telles que le type morphologique et la constitution du squelette, ou les caractéristiques démographiques telles que l'âge, le sexe et l'origine ethnique. La formule, adoptée au 19e siècle, se fonde uniquement sur les données des générations précédentes de la population blanche non hispanique, en se référant à un modèle idéalisé de l'individu caucasien.

STARKVITAL 60+ Nr. 32

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